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Le projet semble avoir rencontré quelques opposants du coté des défenseurs de la nature, notamment concernant l'abattage de certains arbres qui représentent « un patrimoine végétal fabuleux » Un araucaria serait notamment concerné. « On n’en recense que deux spécimens à Perpignan, souligne-t-il. Il s’agit d’un arbre qui pousse habituellement dans la région de Souss, au Maroc. Il est trop fragile pour être déterré et replanté ailleurs. Quand on arrive à avoir un arbre comme ça, on le garde ! » Mais la municipalité assure que « les abattages concernent uniquement des arbres vieillissants ou malades. » Source :<br>https://www.lindependant.fr/2018/01/10/perpignan-le-chantier-des-berges-de-la-tet-suscite-l-ire-des-defenseurs-de-la-nature,3086665.php

Le cabinet BASE, qui a notamment réalisé une partie de l’aménagement des berges de la Saône, est en charge de la réalisation du diagnostic. Il s’agit d’un projet multi-acteur, un projet de territoire qui fédère de nombreuses communes, avec un traitement qualitatif des différentes portes d’accès à la voie verte. La communauté urbaine de Perpignan Méditerranée Métropole est maîtrise d'ouvrage avec notamment, Florence DANHYER, déléguée au rétablissement de la Continuité écologique et sédimentaire secteur Perpignan. TECTA, EODD, Bruit Du Frigo et Franck TALLON ont également participé à la réalisation du projet. Tous les maires (l’ensemble des maires des 36 communes dont ceux qui se trouvent le long des rives du fleuve) ont participé à l’élaboration de ce projet.

https://www.perpignanmediterraneemetropole.fr/single-post/2016/06/27/Présentation-du-projet-«-Es-Têt-» http://www.bruitdufrigo.com/index.php?id=347 http://www.bruitdufrigo.com/index.php?id=358 https://www.eodd.fr/portfolio_page/perpignan-mediterranee-66-maitrise-doeuvre-pour-lamenagement-des-berges-du-fleuve-tet-sur-22-km/ https://www.le-journal-catalan.com/les-berges-de-la-tet-se-proteger-des-inondations/66861/

Depuis janvier 2014, le comité s’est appliqué à recueillir et mettre en cohérence, la parole et le regard des habitants à travers un travail de mobilisation important: réunions d’informations dans les quartiers, balades urbaines, porte-à-porte, questionnaires et enfin ateliers thématiques. Ce travail participatif a abouti à une « contribution citoyenne » présentée au grand public, aux élus et techniciens de la ville.

Une partie de la rive droite de la Têt fait l’objet d’une attention particulière : anciennement dédié au traitement des déchets, cette zone a été revégétalisée en portant une attention particulière au respect de l’aspet naturel des berges, avec apport de terre végétale, engazonnement, plantation d’arbres et d’essences locales.